Ma lettre à la «France eternelle»


La géopolitique est à mon sens un concept vide dès lors qu’on ignore ou qu’on omet volontairement dans l’analyse du phénomène géopolitique les convulsions internes des Etats qui certes sont des acteurs majeurs dans la physiologie du monde, mais qui à eux seuls ne font pas la géopolitique. Car, aussi bien que le concept géopolitique, le concept Etat est lui aussi un concept vide, puisque ce sont les hommes et les phénomènes sociaux qui contribuent à créer un mouvement, un rythme et qui façonnent par conséquent l’évolution géopolitique du monde. L’article que vous lirez ci-dessous n’est au fond qu’un prologue à l’Analyse géopolitique à travers le prisme du phénomène social, du débat sociétal, du comportement de certains acteurs sociaux qui sanctionnent, infirment, affirment ou confirment l’élévation ou la décadence d’un système, d’un pays, du monde.


Face à une crise profonde et polychrome touchant tous les secteurs de la société, toutes les catégories sociales, toutes les “RACES” (cfr. Sophie Thoreau, France Eternelle, Grund édition, 2014), analyser méticuleusement les vrais symptômes qui fragilisent, ébranlent hélas notre pays est une initiative, un devoir que chaque citoyen devrait entreprendre.

Face à ces crises, les plus graves, depuis 1968, repenser le vivre ensemble, comprendre les français est plus que jamais un devoir que les pouvoirs publics, la classe intellectuelle nationale devraient chercher à intérioriser. Car, quand on persiste insidieusement à réfuter le réel, on engage irrémédiablement vers le bas l’avenir de celles et ceux qui sont sensés pérenniser la flamme France.

Débattre de tout et de tous est la résultante de cet héritage siens que les pères de 1789 et de 1945 nous léguèrent. Mais, réduire ; invectiver ; incriminer ; pointer du doigt l’autre ; confondre le vrai du faux ; s’en prendre systématiquement à l’autre, à tel catégorie sociale, à tel autre « RACE » ; vendre l’idée selon laquelle il existerait chez nous des sous-citoyens n’est qu’au fond suivre le chemin tracé par les faiseurs de haine, les sous-humains, celles et ceux qui luttent contre nos valeurs et qui, sans le moindre frein, et avec haine se réjouiront d’une France rabougrie à cause de notre bêtise et de notre entêtement à jouer continuellement à l’amalgame quand il s’agit de parler de celles et de ceux qui n’ont autres cieux que ceux d’ici.

Une France tentée vers le suicide est une idée que caresse une infime couche des nôtres – ne l’oubliant guère –   sacripants de natures, filles et fils du fatras, braves héritières et héritiers de ce qu’il y a de plus pesteux. Ces outlaws, sans nous en rendre compte cherchent à flétrir nos âmes et nos pensées dans l’optique de nous opposer les uns, les autres, et ce afin de sabler avec triomphe et chimériquement la décadence de cette France qui doit demeurer éternelle. C’est un devoir universel, un combat perpétuel aussi collectif qu’individuel et pas strictement franco-française de faire échec à de tels idéaux.

Ainsi illuminé, ce symptôme du désordre, que nous préférons désigner par « capharnaüm », son autre synonyme ; il incombe désormais à chiunque d’exhumer son tréfonds afin de saisir ce qui est et de lutter contre le poison de la haine, iconoclaste de notre Fraternité. Ce faisant, c’est une France, c’est notre pays, qui s’en sortirait plus que jamais cristallisée et brillante dans un monde où la géopolitique actuelle ne nous réserve guère un avenir réjouit en tant qu’humanité. Le contraire va contribue sans faute à humilier notre grandeur et nous repositionnera vers l’antipode, carcan de notre affaiblissement et ce au détriment de la stabilité du monde. Car le monde sans la France est une fin en soi.

Sommes toutes, apprenons à jauger le mal français. Et si par malheur une telle analyse venait à être falsifier pour satisfaire l’intérêt de certains et non de tous, nous nous orienterons vers un second destin irréparable d’hier, quand des français s’en prenaient à d’autres français sur la base d’idéologie pendables et honteuses, désignant le juif comme le mal incarné ; et heureusement aujourd’hui tous et unanimement, sommes conscients que ce fut une erreur et que la communauté juive a bel et bien été au contraire le porte flamme de la grandeur de notre pays, et voire elle a été également l’une des  voix majeurs du progrès de l’humanité. Ne dit-on pas que le linge sal se lave en famille ?

C’est donc par ces mots que je conclurai ainsi ma toute première leçon de géopolitique que j’entends appréhender à travers le prisme du réel social d’un certain lieu, d’une certaine culture, décortiquant pieusement avec décence et objectivement les convulsions éclaireuses d’une mort lente à l’acqua-toffana première cause endogène de notre perdition au détriment de la stabilité du monde, puisqu’une France affaiblit (socialement, économiquement, diplomatiquement, etc.) entrainera, on ne le dira jamais assez le déclin du monde. Prenons donc la mesure de la gravité de nos faits et gestes, de nos émotions et de nos propos, parce que qui dit géopolitique dit au fond « tout et absolument tout a et peut avoir un impact sur la physiologie du monde et peut en conséquence troubler ou rétablir la stabilité politique du monde et de ses sujets qu’ils soient politiques, économiques ou humains.

Dott. Christopher Jivot Bitouloulou

1 thought on “Ma lettre à la «France eternelle»

  1. Article intéressant et excessivement de Droite. Vive l’éternel pilleur invétéré de l’Afrique. Il me semble que c’est un africain d’origine qui a écrit cet article. Ecrivez des articles sur l’Afrique.

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