Congo-Brazzaville: Les 17 et 21 mars 2021, jours du procès politique des fossoyeurs de la République contre le camp des progressistes disposés à reconstruire un pays en ruine

Affirmer que le Congo-Brazzaville est un pays ruiné financièrement, divisé socialement, fracturé d’un point de vue éthique, « ethnique, tribal, voire sociologique » et au bord du déclin politique et géographique, est un euphémisme à la fois indécent et risible, tant on ne peut ne pas être congolais (de Brazzaville) et ignorer que durant les cinq (5) dernières années, un gouvernement irresponsable, d’idéologie communiste et prétendument socio démocrate a fait le choix de gouverner un pays à la « trumpiste » en divisant jour et nuit et sans relâche les congolais quel qu’ils soient et d’où qu’ils viennent. Le « Joe Biden » du Congo-Brazzaville se trouve dans l’opposition. C’est un rassembleur, un économiste, un technocrate, une figue institutionnelle de haut niveau ; tout simplement un homme hautement qualifié, préoccupé et déterminé à sauver la nation congolaise des griffes du PCT et de ses alliés.


L’héritage politique que laissera à la postérité ce parti politique qui n’a cessé de lutter contre les (nos) valeurs Bantus (c’est-à-dire le Parti congolais du travail (en sigle PCT), et qui fait la honte d’une République congolaise laïque et démocratique fondée sur le suffrage populaire universel et libre que nous légua les pères de l’indépendance il y a maintenant plus de 60 ans, est une épée de Damoclès que le prochain courant politique libéral et humaniste (fortement plébiscité par la majorité des congolais) qui gouvernera ce pays dès le printemps 2021 devra évacuer coûte que coûte et le plus rapidement possible afin d’unir enfin tous les congolais pour qu’ils se mettent immédiatement au travail et remettent sur pied un pays déchiqueté par une idéologie boiteuse et portée par une minorité de ces congolais qui ont habitué le pays à des slogans inintelligents tels que « DSN OU RIEN » ; « ÉBONGA, ÉBONGA TÉ, TOUJOURS MEILLEUR » ; « O BOYI SASSOU SALA MOKILI NA YO » ; « ALLONS SEULEMENT » ; « ALLONS PLUS LOIN ENSEMBLE » ; « YO NANI OBOYA SASSOU » ; « OTSHOMBÉ HÉ, OTSHOMBÉ, FANDA LIBÉLA ! » ; etc.

Ces Ayatollah des sales besognes (comme le M.J.P.) qui pullulent sur les réseaux sociaux et qui parfois représentent la nation congolaise au sein de l’hémicycle comme député ou sénateur, ont non seulement fait le choix du déshonneur, mais ils se font aussi volontairement co-responsables du déclin sociétal dans lequel est plongé des générations et des générations de congolais qu’ils soient d’origine, naturalisés ou de cœur.

Par conséquent, tout électeur consciencieux devrait s’interroger sur le rôle que doit jouer en ces temps complexes un élu de la république. Ceci dit, en cas de doute, ou d’actes anti-sociétaux répétitifs, le devoir politique de tout électeur est celui de sanctionner sans complaisance tout homme politique égaré qui fait volontairement le choix de desservir nos intérêts commun en tant que communauté de destin. Pour ce faire, puisqu’on est en politique, la meilleure riposte populaire, pacifique et démocratique à infliger à ces égarés de la nation est de les bouter hors de la gestion de notre bien commun : le Congo.

Il n’y a pas l’ombre d’un seul doute, qu’il faille nécessairement aller voter massivement aux prochaines élections politiques (présidentielle et législative) contre ces politiciens du ventre et propulser à la place les hommes et les femmes portés par un esprit de solidarité envers les plus démunis, les orphelins, les personnes vivants aves handicap, les femmes victimes de sexisme et de violence de tous genres.

Oui, les députés ont avant tout pour mission de voter les lois et de contrôler l’action gouvernementale au lieu de servir de propagandistes éhontés.

Combien de lois en faveur de la mise sur pied d’instruments institutionnels concrets pour la protection et l’encadrement de l’enfance proposées au Parlement par ces Ayatollah du faux qui passent leur temps sur les réseaux sociaux à faire la promotion d’un gouvernement qui a échoué de bout en bout (de A à Z) à redresser un tant soit peu le social des congolais frappés par une crise multidimensionnelle ? Combien d’interpellations gouvernementales contre les ministres de la santé, de l’éducation nationale, des finances, de la fonction publique, de l’emploi, des travaux publics, etc. ?

Tirez vous-mêmes vos conclusions !

Pour le moins, sachez que ces gens-là ne méritent pas de porter vos intérêts au Parlement. Ce sont des opportunistes, des personnes indignes, irresponsables et déterminés à saper et à ruiner vos espoirs de voir le Congo-Brazzaville renaître de ces cendres et dans lequel chaque congolais en capacité de travailler aura le droit à un emploi décent et à une vie sociale meilleure qui lui permettra de bâtir par le travail et non par la corruption son patrimoine familiale qu’il lèguera s’il le souhaite par la suite à sa descendance ou à des œuvres caritatives. Ce Congo que nous rêvons n’est possible qu’en allant voter massivement contre le PCT et ses alliés.

Les 17 et 21 Mars 2021 : en prenant notre courage à bras le corps en allant voter pacifiquement, sans crainte contre le Parti congolais du travail (PCT) et ses alliés, nous accomplirons là un acte héroïque dont nous serons fiers. Nous agirons mêmement aux prochaines élections locales.

N’écoutons pas ceux qui nous disent qu’il est inutile de participer aux prochaines joutes électorales et donc de voter, sous prétexte que le braquage (le vol) électoral est devenu un sport national au Congo-Brazzaville.

 

Sachez qu’en allant voter contre ce système pyramidal mis sur pied par le PCT et sa majorité présidentielle constituée de partis politiques satellites sans bases électorales réelles, vous participerez à faire avancer pas à pas, ce pays complètement ruiné, vers un destin démocratique irréversible.

Surtout dites-vous que votre vote est un sacrifice suprême, non en votre propre faveur, mais au bénéfice de votre progéniture qui doit être épargnée en toute urgence de l’hécatombe infernale dans laquelle le PCT et sa majorité présidentielle sont plus que jamais déterminés à précipiter le pays et toute la nation congolaise avec eux.

En tant que nation, en tant que congolais de tous bords, le seul et unique adversaire politique qui empêche le développement et la pacification de ce pays est sans équivoque le Parti Congolais du Travail (PCT) et sa majorité présidentielle constituée de partis politiques sans bases électorales réelles. Ne nous trompons pas d’adversaire !

Souvenez-vous, il y a à peine quelques années, au lendemain de l’élection présidentielle de 2016, au lieu d’apaiser et de rassembler ; le régime de Brazzaville avait fait le choix de diviser les congolais sur une base tribale honteuse. Cependant, la réalité est aujourd’hui plus jamais parlante car, où qu’ils vivent sur le territoire national ou à l’étranger (les étudiants, et dans une certaine mesure la diaspora congolaise établie à l’étranger), tous, sans exception, sommes victimes des mauvaises politiques publiques mises en place par ce gouvernement le plus inefficient depuis les indépendances en 1960.

Ici et là :

  • Les retraités sont maltraités et laissés pour compte avec plusieurs années de pensions impayées ;
  • Les étudiants avec plusieurs années de bourses impayées ;
  • Le panier de la ménagère connait un effondrement historique de quasi 5% tous les ans depuis 2015 à cause de l’augmentation des prix alimentaires incontrôlés ;
  • Le niveau de chômage ayant atteint plus de 50%, un record jamais atteint depuis les indépendances ;
  • Le congolais est contraint à mal se nourrir, en consommant un seul repas par jour tandis que les fastes de quelques irresponsables politiques véreux du pouvoir et de leurs rejetons ne cessent de défrayer la chronique des médias nationaux et internationaux sans que cela ne puisse interpeller les services du procureur de la république et ce malgré les relais médiatiques du premier média d’investigation du pays et patrimoine historique et national « BrazzaNews » ;
  • Le taux de mortalité dans le pays a atteint des niveaux records ;
  • Le système de santé est dans un état comateux, contraignant tout congolais ayant les moyens financiers, d’aller se faire soigner à l’étranger, même pour une grippe ;
  • Le niveau de criminalité est au plus haut dans un pays pourtant militarisé ;
  • L’escroquerie des faux Pasteurs se faisant sous la bénédiction de certains politiciens du pouvoir ;
  • La corruption dans laquelle s’est engouffrée le régime en place fait fuir les investisseurs étrangers ;
  • Les chancelleries étrangères sont cruellement scandalisées et dénoncent régulièrement dans leurs rapports annuels envoyés à leurs gouvernement d’origine, les multiples systèmes mafieux de détournement de l’aide internationale mis en place dans le pays sous la bénédiction du régime de Brazzaville ;
  • La délivrance de passeports et des pièces administratives relèvent du parcours du combattant ;
  • La politisation de l’administration et de la jeunesse est devenue un « must » honteusement vanter comme une prouesse ;
  • Le gouvernement refusant indignement d’honorer les contributions ou cotisations financières du Congo-Brazzaville au sein des organisations internationales sous-prétexte que le pays est en crise tandis qu’il est capable d’organiser des manifestations culturelles ou meeting politiques sans réel intérêt pour le pays à coup de millions de dollars ;
  • La décentralisation prônée par les Constitutions de 1992, 2002, et 2015 est demeurée lettre morte au profit d’un centralisme primaire, inefficient et autoritaire ;
  • La nomination aux responsabilités publiques par cooptation « sectaire » et ethnique ou tribale est normalisée au détriment des concours publics et de la méritocratie ;
  • Le recrutement et l’intégration dans la fonction publique des admis aux concours publics et de certains vacataires sont incessamment renvoyés aux calendes grecques ;
  • Les jeunes entrepreneurs sont victimes de raquettes organisées et sous la bénédiction de certains responsables publics ;
  • L’armée, la police et la gendarmerie deviennent les premiers employeurs de la République, une honte ;
  • Les arrestations arbitraires et les tortures au sein des geôles des services de renseignements se font sous la bénédiction du Gouvernement ;
  • Les arrestations arbitraires, les assassinats et violences policières se faisant sous la bénédiction du procureur de la république et du ministre de l’intérieur ;
  • L’immigration clandestine a atteint des niveaux jamais atteint auparavant ;
  • La violation de la liberté de penser et d’expression est devenue un sport olympique national ;
  • L’effondrement du système universitaire et scolaire dans son ensemble se fait sous la bénédiction du régime en place depuis 1969, quasi un demi-siècle, avec des taux d’admission aux examens publics (CEP, BEPC, CAP, BAC, etc.) parmi les plus bas au monde, ce qui entraine logiquement la difficulté de faire reconnaitre les diplômes congolais à l’étranger ;
  • L’étudiante congolaise est chosifiée par certains professeurs d’université irresponsables sans que cela ne puisse attirer l’attention des services du ministère de l’enseignement supérieur, ni moins ceux du Recteur de la seule université du pays ;
  • Le pays connait de plus de plus une accentuation du phénomène des enfants de la rue sans que cela n’émeut le ministre en charge de l’enfance ;
  • Le phénomène de la prostitution enfantine (surtout dans la ville de Pointe-Noire) n’indigne aucun politicien du régime de Brazzaville encore moins le ministre de la promotion de la femme ;
  • Des quartiers entiers s’effondrent jour et nuit après le passage de la pluie et ce sous l’œil attentif du gouvernement ;
  • Les routes sont devenues impraticables à l’intérieur du pays ;
  • L’eau courante et l’électricité sont devenues d’une rareté cruelle ;
  • L’endettement du pays (soit environ 110% du PIB) a atteint des records jamais atteint auparavant par aucun autre régime politique congolais si ce n’est le PCT et ce à plusieurs reprises en quasi 46 ans de règne ; etc.

Le Congo est plus qu’un « no man’s land ». C’est un État en plein déliquescence et en quasi faillite. L’alternance politique devient par conséquent le véritable espoir de tout congolais.

Avec un tel bilan révoltant et affreux, comment peut-on avoir le courage de regarder les congolais en face et leur dire les yeux dans les yeux « OUI » ; « DSN OU RIEN » ; « ALLONS PLUS LOIN ENSEMBLE » ; etc. ?

QUEL NIVEAU D’INDIGNITÉ ! Et c’est le moins que l’on puisse dire.

Car la jeunesse congolaise longtemps martyrisée et sacrifiée par l’arrogance politique du PCT, puis au chômage et sans avenir sous ce régime ne peut accorder son destin dans les mains d’un système irresponsable politiquement, incapable de rassembler avec humilité une société fracturée. Bref, un système indigne de porter le destin d’une si grande nation qu’est le Congo-Brazzaville.

Enfin, quand on a un peu d’estime de soin et un niveau de réflexion élémentaire on ne s’aventure pas à affronter la conscience sociétale consciente que le PCT et sa majorité présidentielle constituée de partis politiques satellites sans bases électorales, représentent le plus gros obstacle qui empêche le développement du Congo-Brazzaville et l’épanouissement social de chaque congolais d’où qu’il vienne et quel qu’il soit.

Aucun citoyen de ce pays, qu’il soit d’origine, de parents étrangers, naturalisés, ou simplement de cœur, ne peut admettre qu’une fois de plus et de trop que ce régime complètement indifférent aux malheurs des congolais puisse gouverner encore durant cinq ans de trop et dans l’irresponsabilité absolue notre bien commun le Congo-Brazzaville.

Puis, le tribalisme est une gangrène du système, elle ne nous regarde pas en tant que citoyen et nous la combattrons de toutes nos forces. C’est pourquoi nous voterons contre le PCT et sa majorité présidentielle pour mettre aux responsabilités une vision progressiste, un réformateur, un technocrate, un rassembleur, un homme préoccupé du social des congolais et de leur avenir professionnel, éducatif, sanitaire, etc. Cet homme est dans l’opposition et NON au PCT et encore moins dans sa majorité présidentielle.

Ce pays aux multiples potentialités est capable de prouver au monde son ingéniosité et sa capacité de transformation comme jadis sous les régimes Youlou et Massamba Débat. Et pour ce faire, il en faut peu, car les hommes et les femmes de cette nation une et indivisible sauront puiser au fond d’eux leur plus insoupçonnable génie qui fera de ces 342.000 km2 un Eldorado unique où chaque congolais et quel qu’il soit (d’origine, naturalisé, de parents étrangers ou de cœur) saura trouver son compte. Oui, ce Congo est possible sans le PCT et ses alliés.

Pour ce faire, un seul mot d’ordre vaudra les 17 et 21 mars 2021 : Votons massivement contre le PCT et sa majorité.

Pour un Congo prospère, uni, indivisible, en paix et sans guerre scélérate dans le Pool : un seul mot vaudra les 17 et 21 mars 2021. Votons massivement en faveur du candidat de l’opposition le mieux placé pour nous débarrasser une fois pour toute et loin de la gestion calamiteuse de notre bien commun (le Congo), ces fossoyeurs de la République (c’est-à-dire le PCT) qui gouvernent ce pays depuis trop d’années dans l’incompétence notoire et le gangstérisme abject le plus insupportable.

Les 17 et 21 mars 2021, le peuple congolais dans sa majorité votera pour le candidat du progrès, de l’humanisme, de la solidarité, de la réforme, de la décentralisation intégrale, de l’emploi, de l’entreprenariat, de la paix et de l’unité nationale. Le rêve congolais est possible. Nous en avons les moyens. Les 17 et 21 Mars 2021, nous irons voter pour l’opposition et son candidat populaire et naturel : l’honorable député Dr. Guy Brice Parfait KOLÉLAS.

Nous jeunesse congolaise, nous refusons d’offrir nos voix au Parti politique (le PCT) propice à la guerre dans le Pool, au chômage massif, au vol, aux pensions impayées, aux bourses impayées, à la dette, à la corruption, au braquage électoral, aux arrestations arbitraires et au terrorisme d’état, etc.

Pour conclure cet appel de la jeunesse congolaise populaire et consciente ; cet appel des milliers de pensionnaires sans pension depuis des années et des chômeurs (soit plus de 80% de l’électorat actif) : à l’opposition congolaise capable d’écraser le PCT et ses alliés, nous lui disons qu’elle n’a pas deux options en sa faveur. Elle n’en a qu’une seule : LA VICTOIRE ET RIEN QUE LA VICTOIRE POPULAIRE.

Pour en arriver là, au lieu de se précipiter à proclamer en premier les résultats électoraux, dans le but certes légitime de contrecarrer la cohorte des chiffres et résultats falsifiés que le PCT et sa Commission électorale s’apprêteront à publier comme toujours nuitamment au lendemain du blocage des moyens de communication et d’internet et ce afin de déclarer vainqueur par tricherie dès le premier tour son candidat naturel ; l’opposition doit avoir à l’esprit une seule stratégie (pas l’unique naturellement), c’est-à-dire rassembler au maximum et massivement dans les délais électoraux et constitutionnels les vrais résultats sortis des urnes et contresignés par chaque délégué du candidat présent dans chaque bureau électoral.

Ensuite, s’organiser et se tenir prêt pour contester légalement les mensonges électoraux du PCT devant les cours et tribunaux de la République, devant les chaînes de télévision du monde et de ne rien lâcher au moins cette fois-ci pour défendre jusqu’au bout la volonté populaire sortie des urnes. Le peuple se tiendra prêt et pacifiquement pour imposer le respect de la légalité et du jeu démocratique.

Aucun lien de sang, de « fraternité », de subordination tétraédrique ne doit servir de prétexte pour céder une fois de trop les clés de notre pays dans les mains d’un gouvernement et d’un régime incapable d’imiter pour le moins le modèle économique de son allié naturel, la Chine, en matière de développement, de formation et d’emploi. Illégitime, le PCT et ses alliés ont sans vergogne trahis systématiquement la nation congolaise toute entière.

Enfin, être un frère trois-points doit-il se résumer à tolérer et à accompagner un système coupable d’avoir entrainé tout un pays au bord de l’asphyxie sociale, politique, sécuritaire et de la scission ?

Si rien n’est fait pour imposer le droit et la légalité populaire démocratique au lendemain de l’élection présidentielle des 17 et 21 Mars 2021 : « [Le PCT], pour qui rien n’est sacré (…) [et] qui épuiserait les trésors [entiers] du [Congo-Brazzaville], réduirait la nation à la mendicité, et finirait par mettre [notre pays] à l’encan, pour satisfaire ses sales voluptés [égoïstes et surtout ceux de son clan, tout ce au détriment de nos intérêts collectifs en tant que nation et communauté de destin. Les congolais méritent plus et mieux !] » (Marat, Pamphlets, Infernal projet des ennemis de la R. [*République], 1790, p. 199).

 

Christopher Jivot BITOULOULOU-JULIENNE NTSOULI NGAMBIO

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